Qui était Mussolini ?

Homme d'Etat italien. Originaire d'une famille modeste de Romagne, Benito Mussolini suit une formation d'instituteur (1901), puis émigre en Suisse, où il exerce divers métiers (maçon, traducteur, journaliste). Il adhère dès 1900 au Parti socialiste italien.

En 1912, il est emprisonné pour avoir organisé une grève contre la guerre de Tripolitaine, libéré il accède au rang de rédacteur en chef du journal du parti, l'Avanti, poste qu'il quitte en 1914 pour fonder son propre journal, Il Popolo d'Italia, qui prône l'intervention italienne aux côtés de la Triple-Entente. Pendant la Première Guerre mondiale, Benito Mussolini sert dans les bersaglieri, infanterie d'élite, période pendant laquelle il abandonne le parti socialiste.

La naissance du mouvement fasciste

En 1919, Benito Mussolini, préoccupé par le chaos économique dans lequel s'enfonce l'Italie, fonde les Faisceaux de combat et le mouvement fasciste en s'appuyant sur ses amitiés nouées dans l'armée. Les squadristi, groupes paramilitaires issus des Faisceaux, pourchassent bientôt illégalement, mais en toute impunité, grévistes, syndicalistes, socialistes et démocrates, que Mussolini rend responsables de la situation de son pays. Soutenu à la fois par quelques grands industriels, par les classes moyennes confrontées à la multiplication des désordres et par la grande masse des chômeurs, il est élu, en 1921, député, en même temps que 31 de ses proches. En novembre 1921, il crée le Parti national fasciste et, en août 1922, les squadristi brisent une grève générale. Mussolini entame alors une « marche sur Rome » avec ses partisans. Le 29 octobre 1922, le roi le nomme Premier ministre.

L'exercice du pouvoir

Profitant de sa popularité et s'appuyant sur des qualités oratoires certaines, Mussolini parvient un mois plus tard à se faire accorder les pleins pouvoirs par la Chambre (25 novembre 1922). En 1924, l'assassinat du leader socialiste Matteotti prélude à l'instauration d'une dictature (1925).

Reprenant dans une tonalité nouvelle le nom de Duce, (le «chef»), qui lui avait été donné dans les années 1911-1914 par ses camarades dans l'action anticolonialiste et antimilitariste, il met alors en œuvre un programme politique fondé sur sa doctrine antilibérale, antidémocratique et antisocialiste, en instaurant en Italie un Etat totalitaire et corporatiste. Il réconcilie ensuite l'Italie avec le Saint-Siège en signant les accords du Latran (1929). Ambitionnant de donner à l'Italie un vaste empire colonial sur le modèle de la Rome antique, il lance ses troupes à la conquête de l'Ethiopie (1935-1936). D'abord condescendant à l'égard de Hitler, hostile à l'annexion de l'Autriche par l'Allemagne (il masse des troupes sur le Brenner en 1934 après l'assassinat du chancelier Dollfuss), il se rapproche du Führer, lorsque la Grande-Bretagne et la France condamnent ses annexions africaines. Il apporte son soutien aux troupes franquistes pendant la guerre civile en Espagne (1936-1939).

En 1936, Mussolini lie le destin de l'Italie fasciste à celui de l'Allemagne nazie, par le traité de Berlin connu sous le nom d'Axe Rome-Berlin (15 octobre 1936), dont l'objet est la lutte contre le bolchevisme.

La chute de Mussolini

Malgré les réticences de son entourage, qui voit d'un mauvais œil l'entrée de l'Italie dans la Seconde Guerre mondiale aux côtés de l'Allemagne, Mussolini attaque et occupe l'Albanie en 1939, déclare la guerre à la France en juin 1940, mais, dès 1941, commence à essuyer une série de revers militaires sur tous les fronts, dont celui de Libye, colonie italienne depuis 1912, et surtout dans sa campagne contre la Grèce, et Hitler doit venir à sa rescousse. La succession d'échecs que connaissent les armées italiennes entame sérieusement le prestige du Duce, qui passe de plus en plus pour un simple auxiliaire de Hitler. Ainsi, le 25 juillet 1943, le Grand Conseil fasciste le destitue afin d'entamer des négociations de paix avec les Alliés. Emprisonné au Gran Sasso, Benito Mussolini est libéré par un commando de parachutistes allemands dirigés par Otto Skorzeny. Il fonde en septembre 1943 l'éphémère République sociale italienne, dont la capitale est à Salo, sur le lac de Garde. Il fait alors exécuter les chefs fascistes qui l'ont renversé (dont son gendre, le comte Ciano). En avril 1945, au cours d'une tentative de passage en Suisse, il est capturé par des partisans avec sa maîtresse Clara Petacci. Exécutés le 28 avril, leurs cadavres seront exhibés sur une place de Milan.

on dirait une fille

Jack a écrit:

on dirait une fille

Un opticien pourrait peut-être te remettre les yeux en face des trous...

Admin tu devrais garder le respect envers les forumeurs. Tu aurais dut juste supprimer son message.

Oui encore l'éditer comme vous le faites souvent. Vous dites mettre le respect sur votre forum et vous ne l'appliquez pas. C'est triste... Mussolini est l'example d'Hitler mais italien, il instauré le fascisme dans la belle et tranquille nation d'Italie qui avait déjà connu le reigne absolue et très sanglants des empereurs romains. Lui a ajouté une chose aussi pire. Le nationnalisme.

Pauvres petits italien ;(

Quand on sait que c'est à cause du non soutien des démocraties que Mussolini n'a pas attaqué Hitler

Quand on a empéché l'Italie d'avoir un empire colonial alors que toutes les autres nations européennes en avaient un. Même l'URSS avait le plus grand empire colonial où il imposait aussi sa jolie idéologie.

Donc c'est la faute aux démocraties que l'Italie s'est alliée à l'Allemagne ; à personne d'autre.

Entre ces deux nations qui sont L'Italie et l'Allemagne, il n'a jamais eu de rapports démocratiques. C'était purement égoiste et xénobobiste de leur part de contribuer a l'égémonie de l'Axe

faucon a raison

Qu'est-ce qui te fait dire que j'ai raison, il faut une preuve

la axe c'est méchant et faut pas aider la axe.

D'accord mais il ne faut pas non plus aider les anciens du Pacte de Varsovie détruits par le communisme et ne plus participer au développement de la Chine, car qui fournit les technologies en matière de motrices de chemins de Fer c'est encore Alstom donc supprimons tout les investissements en Chine communistes et aidons Tapeï.

Le Faucon Rouge a écrit:

Oui encore l'éditer comme vous le faites souvent. Vous dites mettre le respect sur votre forum et vous ne l'appliquez pas. C'est triste... Mussolini est l'example d'Hitler mais italien, il instauré le fascisme dans la belle et tranquille nation d'Italie qui avait déjà connu le reigne absolue et très sanglants des empereurs romains. Lui a ajouté une chose aussi pire. Le nationnalisme.

Certes, ma réaction parfois épidermique à la bêtise est un peu excessive lorsque cela me met de mauvais poil. Veuillez me pardonner cet emportement plus rarissime que la sottise.
Le nationalisme, en soi, n'est pas en cause. Comment pourrions-nous blâmer tout concitoyen attaché à la mère patrie ? Le nationalisme est l'anticorps nécessaire à la subsistance de la cité, de la communauté de destin d'hommes qui se sont choisis au fil des siècles des richesses culturelles et patrimoniales qu'il est nécessaire de protèger des convoitises de profiteurs belliqueux.
A contrario, les idéologues qui s'emparent de la nation pour parvenir à satisfaire leurs ambitions impérialistes, sont à proscrire absolument. Il ne manquait à Hitler et Mussolini que l'humilité que pouvait leur enseigner le christianisme. Cette carence essentielle se montra mortifère et cruelle pour les peuples d'Europe, et même au-delà.

Le Faucon Rouge a écrit:

Entre ces deux nations qui sont L'Italie et l'Allemagne, il n'a jamais eu de rapports démocratiques. C'était purement égoiste et xénobobiste de leur part de contribuer a l'égémonie de l'Axe

Nous sommes donc bien d'accord pour constater que les tyrans socialistes sont surtout mûs par l'égoïsme et son corollaire la xénophobie. Vous remarquerez au passage que c'est une constante chez toutes les idéologies athées.

Attention, je suis communiste mais aussi chrétien-protestant alors le communisme n'est pas toujours athé, certes Lénine l'était mais... faut pas dire qu'un homme est ce que les autres le sont. Hitler était pas un socialiste comme je le disais, Juif=argentier (non capitaliste gros bourgeois, tout simplement petit-bourgeois) mais je suis pas contre les juifs ce sont mes amis. Je vous pardonne et certes vos membres aussi, je tu il et vous sommes des humains ^^ A propos du nationnalisme je parlais du nationnalisme xénophobe comme les politiques de Le Pen. Je suis un fervant nationnaliste québecois mais ... de gauche. J'aimerais ca que quelqu'un dise que la droite et la gauche n'a point d'importance car c'Est une mesure a la noix dans les sciences-politiques.

y'a un parti nationnaliste au québec qui est bon?

Le bloc québecois, pourrions nous le considéré comme un parti nationnaliste, et le PPQ (le parti pequiste du québec papier cul) escusez moi de mon immaturité!

Un parti qui disont le n'est pas à son meilleur c'est dernier temps.

Après, il faudra le vaincre, a voir la poussée du nationnalisme (culturel, dorrénavant je vais le précisé!)

comment ca vaincre

Bah puisque tous les partis ont leur ligne, il faut surpasser les autres C'est le but de ce parlementarisme. Et établir un mono ou biparti. Le Bloc veut vaincre le Concervateur qui lui veut vaincre le Libéral qui veut vaincre le NPD ... Chaîne alimentaire politique!

la seul différence sé que le piranah veux manger le requin (hihihi en plus sé se qu'il sont)

Tiens y a des chrétiens communistes c'est surprenant c'est condamné comme le fascisme et le national socialisme et en plus par le même Pape Pie XI

Sinon tu es maristes tendance groucho (du nom d'un acteur américain) lol

Non, je sais bien vous les royalistes, vous étiquetez le monde en vous montrant interessant, mon cher ca ce n'est guère de la saGEsse. Je maudis tous les papes et tous les rois! OUi je suis chrétien et c'est pas un dogme royaliste qui m'applatit c'est l'idiautie sanglante de l'impérialisme

les pape ont toujours été mal vu je suis daccord avec faucon maudissont les tous

Le Faucon Rouge a écrit:

(...) Je maudis tous les papes et tous les rois ! OUi je suis chrétien et c'est pas un dogme royaliste qui m'applatit c'est l'idiautie sanglante de l'impérialisme

On se demande parfois où peut bien se nicher l'idiotie.
C'est bien vrai que les papes sont des empêcheurs de tourner en rond au milieu des turpitudes.
Ah que c'est plus bien de sauver les âmes en perdition.